Maxim’s

« Depuis que Paris est mode, depuis que Paris est monde, on me raconte en adresse fatale, maison mythique, légende parmi les légendes, lumière de la grande ville. »

C’est au 3 de la rue Royale, quelque part entre la Seine et la Tour Eiffel, que Maxim’s dévoile son restaurant et son bar. Maxim’s ressuscite le charme d’une grande maison parisienne, classiques de la gastronomie bourgeoise dans l’assiette.
Derrière le rouge baiser de la façade se dévoile un chef d’œuvre, un vertige, une beauté. Des vitraux, une verrière, des peintures, des velours et partout en allégorie des fleurs, des feuilles, des fruits.
Une jungle Art Nouveau où l’on pénètre comme dans ces contes de fée lorsqu’ils vous accompagnent loin et longtemps.

La carte se regagne une étoffe où les jolis mots rejoignent les beaux mets. Ceux qui ont fait la légende de Maxim’s, d’autres inédits, les classiques rafraîchis, les envies d’aujourd’hui, tous portés par le bonheur et l’appétit.
On retrouve les cuisses de grenouilles persillées, le soufflé au fromage, la soupe VGE, le poulet Henri IV ou encore la sole Albert et le homard à l’américaine.

Au dos de la petite cuillère, à l’instant des desserts, l’irrésistible Yann Couvreur réenchante les classiques : crêpe Suzette, mousse au chocolat soufflé, pomme délicieusement excitée d’un sabayon Calvados et d’une glace à la fève de tonka.

Le bar, dès 18h et bien après minuit, vous ne pourrez pas le manquer. Il n’y a qu’à suivre le Paris qui sort venu y pousser le dernier cri de la mode, distraire sa faim d’assiettes inspirées, amuser sa soif de cocktails éclairants, se retrouver, se rencontrer et se bouger en musique.

Chaque soir, au restaurant, un groupe ose le live, monte gentiment le son, croise jazz et pop, joue et rejoue ces notes que l’on aime.
Chez Maxim’s, on dîne d’abord, on danse bientôt, parfois les deux en même temps.
La nocturne lui va si bien. La fête encore mieux.

Follement votre,
Maxim’s.